Les notes de Sud Ouest Une relance compliquée à gérer dès la 1re minute pour se mettre dans le bain. Concentré, plutôt sûr au pied, il n’a eu qu’un arrêt à faire mais il l’a bien fait face à Mafouta (65e), de près. Encore vigilant à la 87e sur une talonnade de Tpsoba. En attendant l’arrivée d’un numéro 2, c’est son troisième match consécutif sans encaisser de but. Bon pour la confiance. Le Polonais est en train de s’installer au poste. C’est maintenant une certitude : les difficultés de la saison dernière sont derrière Clément Michelin. Dans la foulée d’une bonne préparation et des trois premières journées, l’arrière droit a tout bien fait, autant défensivement qu’offensivement. Ses centres sont des armes redoutables qui auraient mérité plus de présence devant le but en première période. Un danger constant. Le niveau Ligue 1. C’était le retour du grand blond aux chaussures blanches. Il n’a pas changé malgré le manque de compétition. Il défend toujours debout (frappe de Mafouta contrée, 14e), reste très dur à passer grâce à sa vitesse (retour sur Mafouta, 65e) et ne s’embarrasse pas de fioritures à la relance ! Son entente avec Barbet n’a pas souffert de la coupure. Souffrant logiquement de crampes, il est remplacé par Malcom Bokele (71e). Il avait réussi le pénalty de la victoire contre Concarneau dans le temps additionnel. Cette fois, il a été décisif en cassant deux lignes balle au pied pour créer, avec un peu de réussite, le décalage pour l’ouverture du score de Vipotnik (47e), se permettant une autre chevauchée à la 58e. Défensivement, il a vite retrouvé ses automatismes avec Gregersen. Le capitaine a mené la révolte. S’il n’a pas encore retrouvé le « peps » de la saison dernière, l’arrière gauche reste une menace constante, surtout quand le jeu était fermé en première période. Son entente avec Pitu reste perfectible mais lui aussi monte en puissance. Ceux qui doutent de son utilité ont-ils vu son match ? Pas le plus grand technicien de l’équipe mais parfait dans son rôle de « sentinelle » devant la défense. Il n’est pas sorti de son registre, coupant les trajectoires, jouant simple pour ses milieux relayeurs et surtout, assurant l’équilibre général sur les transitions amiénoises. C’est lui qui récupère le ballon pour Barbet sur le premier but. Il a failli offrir une balle de but à Davitashvili sur une relance longue (63e). Il ne parle pas encore la langue mais il sait se faire comprendre par le geste. En première période, il a constamment cherché à rééquilibrer l’ensemble, sans trop en faire, mais en perdant des ballons trop facilement Moins en vue qu’à Ajaccio mais il est pour beaucoup, avec Ignatenko, si les Girondins n’ont quasiment pas été mis en danger. Remplacé (90e+1) par Mathias De Amorim. À voir sa joie après son but de la 56e minute, on imagine que son début de saison moyen commençait à lui peser. Pour lui aussi, c’est peut-être le signal du vrai lancement de sa carrière aux Girondins. Il fait valoir sa qualité technique après s’être rassuré en début de rencontre en allant chercher des ballons bas. À son poste de numéro 10, il a souffert du manque de profondeur du jeu de son équipe devant lui mais n’a pas renoncé et sa qualité technique, en général et devant le but en particulier a fini par payer. Remplacé par Issouf Sissokho (70e) auteur d’une entrée pleine de dynamisme. Pour sa première titularisation de la saison au poste de milieu gauche, dans une première mi-temps atone, il a essayé d’apporter du mouvement mais trop souvent vers son but et manquant aussi de présence dans la surface quand le jeu venait de la droite. Son centre en retrait pour Weissbeck (29e) est l’un des rares temps forts des 45 premières minutes. Avec l’ouverture du score, il a trouvé de l’espace et son déboulé à gauche a offert une belle occasion à Davitashvili (61e). Remplacé par Jérémy Livolant (71e), proche de donner un ballon de but à Sissokho en contre. Il a beaucoup, beaucoup donné mais, est-ce à cause de la fatigue accumulée cet été avec les Espoirs et les A de la sélection géorgienne, toujours est-il que le petit ailier, replacé à droite, n’a pas le coup de reins qui lui permettait de créer des différences comme la saison dernière. Il a beaucoup tenté sans réussite. Sifflé par les supporters bordelais à l’annonce des équipes, l’avant-centre bordelais s’est beaucoup dépensé, y compris au pressing. Il a décalé Michelin sur la droite mais a manqué de jus pour reprendre le bon centre de son arrière droit (20e). Une bonne remise dans la surface pour Davitashvili (33e) avant de se blesser à l’adducteur gauche à la 45e. Remplacé par Zan Vipotnik (8/10). Le Slovène ne pouvait rêver mieux : un but sur son premier ballon au retour des vestiaires. Un vrai but d’avant-centre, une touche de balle pour se décaler sur son pied gauche et une frappe à ras de terre dans le coin opposé. Une délivrance pour lui qui avait été malheureux à Pau. Il aurait pu doubler la mise trois minutes plus tard d’une volée ou sur une tête puissante qui touchait le haut de la transversale (77e). Les notes de Sud Ouest Une relance compliquée à gérer dès la 1re minute pour se mettre dans le bain. Concentré, plutôt sûr au pied, il n’a eu qu’un arrêt à faire mais il l’a bien fait face à Mafouta (65e), de près. Encore vigilant à la 87e sur une talonnade de Tpsoba. En attendant l’arrivée d’un numéro 2, c’est son troisième match consécutif sans encaisser de but. Bon pour la confiance. Le Polonais est en train de s’installer au poste. C’est maintenant une certitude : les difficultés de la saison dernière sont derrière Clément Michelin. Dans la foulée d’une bonne préparation et des trois premières journées, l’arrière droit a tout bien fait, autant défensivement qu’offensivement. Ses centres sont des armes redoutables qui auraient mérité plus de présence devant le but en première période. Un danger constant. Le niveau Ligue 1. C’était le retour du grand blond aux chaussures blanches. Il n’a pas changé malgré le manque de compétition. Il défend toujours debout (frappe de Mafouta contrée, 14e), reste très dur à passer grâce à sa vitesse (retour sur Mafouta, 65e) et ne s’embarrasse pas de fioritures à la relance ! Son entente avec Barbet n’a pas souffert de la coupure. Souffrant logiquement de crampes, il est remplacé par Malcom Bokele (71e). Il avait réussi le pénalty de la victoire contre Concarneau dans le temps additionnel. Cette fois, il a été décisif en cassant deux lignes balle au pied pour créer, avec un peu de réussite, le décalage pour l’ouverture du score de Vipotnik (47e), se permettant une autre chevauchée à la 58e. Défensivement, il a vite retrouvé ses automatismes avec Gregersen. Le capitaine a mené la révolte. S’il n’a pas encore retrouvé le « peps » de la saison dernière, l’arrière gauche reste une menace constante, surtout quand le jeu était fermé en première période. Son entente avec Pitu reste perfectible mais lui aussi monte en puissance. Ceux qui doutent de son utilité ont-ils vu son match ? Pas le plus grand technicien de l’équipe mais parfait dans son rôle de « sentinelle » devant la défense. Il n’est pas sorti de son registre, coupant les trajectoires, jouant simple pour ses milieux relayeurs et surtout, assurant l’équilibre général sur les transitions amiénoises. C’est lui qui récupère le ballon pour Barbet sur le premier but. Il a failli offrir une balle de but à Davitashvili sur une relance longue (63e). Il ne parle pas encore la langue mais il sait se faire comprendre par le geste. En première période, il a constamment cherché à rééquilibrer l’ensemble, sans trop en faire, mais en perdant des ballons trop facilement Moins en vue qu’à Ajaccio mais il est pour beaucoup, avec Ignatenko, si les Girondins n’ont quasiment pas été mis en danger. Remplacé (90e+1) par Mathias De Amorim. À voir sa joie après son but de la 56e minute, on imagine que son début de saison moyen commençait à lui peser. Pour lui aussi, c’est peut-être le signal du vrai lancement de sa carrière aux Girondins. Il fait valoir sa qualité technique après s’être rassuré en début de rencontre en allant chercher des ballons bas. À son poste de numéro 10, il a souffert du manque de profondeur du jeu de son équipe devant lui mais n’a pas renoncé et sa qualité technique, en général et devant le but en particulier a fini par payer. Remplacé par Issouf Sissokho (70e) auteur d’une entrée pleine de dynamisme. Pour sa première titularisation de la saison au poste de milieu gauche, dans une première mi-temps atone, il a essayé d’apporter du mouvement mais trop souvent vers son but et manquant aussi de présence dans la surface quand le jeu venait de la droite. Son centre en retrait pour Weissbeck (29e) est l’un des rares temps forts des 45 premières minutes. Avec l’ouverture du score, il a trouvé de l’espace et son déboulé à gauche a offert une belle occasion à Davitashvili (61e). Remplacé par Jérémy Livolant (71e), proche de donner un ballon de but à Sissokho en contre. Il a beaucoup, beaucoup donné mais, est-ce à cause de la fatigue accumulée cet été avec les Espoirs et les A de la sélection géorgienne, toujours est-il que le petit ailier, replacé à droite, n’a pas le coup de reins qui lui permettait de créer des différences comme la saison dernière. Il a beaucoup tenté sans réussite. Sifflé par les supporters bordelais à l’annonce des équipes, l’avant-centre bordelais s’est beaucoup dépensé, y compris au pressing. Il a décalé Michelin sur la droite mais a manqué de jus pour reprendre le bon centre de son arrière droit (20e). Une bonne remise dans la surface pour Davitashvili (33e) avant de se blesser à l’adducteur gauche à la 45e. Remplacé par Zan Vipotnik (8/10). Le Slovène ne pouvait rêver mieux : un but sur son premier ballon au retour des vestiaires. Un vrai but d’avant-centre, une touche de balle pour se décaler sur son pied gauche et une frappe à ras de terre dans le coin opposé. Une délivrance pour lui qui avait été malheureux à Pau. Il aurait pu doubler la mise trois minutes plus tard d’une volée ou sur une tête puissante qui touchait le haut de la transversale (77e).J4 : Bordeaux - Amiens : Samedi 26/08 : 15h00
Rafal Straczek 7/10
Clément Michelin 8/10
Stian Gregersen 6/10
Yoann Barbet (cap) 7/10
Vital Nsimba 6/10
Danylo Ignatenko 6/10
Pedro Diaz 5/10
Gaétan Weissbeck 7/10
Alexi Pitu 6/10
Zuriko Davitashvili 5/10
Aliou Badji (non noté)
Rafal Straczek 7/10
Clément Michelin 8/10
Stian Gregersen 6/10
Yoann Barbet (cap) 7/10
Vital Nsimba 6/10
Danylo Ignatenko 6/10
Pedro Diaz 5/10
Gaétan Weissbeck 7/10
Alexi Pitu 6/10
Zuriko Davitashvili 5/10
Aliou Badji (non noté)
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#31 · 28 août 2023, 11 h 57 min