Les notes de Sud Ouest Il a dû attendre la demi-heure de jeu pour réaliser sa première intervention, en allant vite au sol pour détourner un centre au cordeau (32e). Une parade du pied sur une frappe de Saïd (57e), une autre devant Rippart même si cela aurait dû finir par un but sans une intervention irrationnelle d’Elisor (73e). Il finit par faucher De Préville dans sa surface après l’énorme erreur de Biumla (90e+5). Toujours à droite, un côté où il n’est clairement pas à l’aise pour centrer et qui l’oblige à revenir sur son pied gauche sans grand succès, il a au moins eu le mérite d’amener le surnombre dans son couloir. De bonnes interventions pour enlever des ballons chauds (21e, 59e), mais aussi quelques tourments causés par Saïd (32e, 57e). Il a terminé à gauche. Pour son premier match depuis le 19 décembre, il a confirmé ce qu’Albert Riera disait de lui cette semaine : il a des jambes. Il a plusieurs fois coupé des attaques troyennes grâce à sa vitesse, même s’il est devancé par Elisor (3e). Un tacle peu maîtrisé mais qui a le mérite de sortir un centre brûlant (21e). Il finit à droite et rate une reprise pas évidente (84e). En retard comme beaucoup sur la première occasion troyenne (3e). Ensuite, il a fait parler sa puissance et a été dominant dans l’impact. Une grosse faute sur Elisor qui a échappé aux arbitres alors qu’il aurait dû récolter un carton jaune (40e). Plutôt sobre dans la relance jusqu’à cette passe plein axe complètement ratée qui offre l’action du but troyen (65e). Une autre passe contrée sans conséquences (81e) et surtout une perte devant sa surface qui débouche sur le pénalty de la victoire (90e+5). Après plusieurs pertes de balle dangereuses contre Angers, il doit gagner en fiabilité sur ce point. Il avait su se ressaisir après une fin 2023 très compliquée. À Troyes, il a de nouveau été en grande difficulté. Bruus lui a fait des misères dans son dos (3e, 14e, 32e) et les occasions auboises sont souvent venues de son côté. Pour ne rien arranger, il a été averti pour avoir trop tardé à jouer ses touches (41e), pas aidé par des coéquipiers qui ne proposaient rien. Offensivement, un centre magnifique pour Elis (45e) et une remise acrobatique dans la surface (54e). Trop peu. Après une touche mal jouée, il est remplacé par Yoann Barbet (63e), qui avait commencé sur le banc pour limiter les risques avec son ischio douloureux, et qui suit le joueur plutôt que le ballon sur l’ouverture du score (65e). Il se rattrape en égalisant sur un pénalty offert par l’arbitre (90e). Il a livré un duel très musclé avec les milieux de terrain adverse, a pris des coups, en a rendus, et a bénéficié de la clémence de l’arbitre malgré une semelle sur la jambe d’un Troyen (30e) et une multitude d’accrochages. Il confirme ses progrès dans l’utilisation du ballon. Il joue presque comme un meneur reculé et distribue beaucoup. Un extérieur magnifique pour ouvrir le jeu vers la droite (26e), un ballon brossé pour aller chercher Ekomié dans la surface (54e). Il a confirmé son retour à un bon niveau. Beaucoup de ballons touchés, une activité de tous les instants. La première frappe cadrée est pour lui (5e). Une superbe ouverture pour lancer Elis (21e). Il n’a pas baissé de pied jusqu’à la fin. Pas mal de ballons touchés, quelques relais intéressants, mais parfois trop de touches de balle, et assez peu de différences faites en première période, où il a été très précieux dans le replacement et le pressing. Une frappe boxée par le gardien adverse (43e). Il manque de spontanéité. Il s’arrête complètement de courir sur le but où il est pris par la feinte (65e). Une tête sauvée sur sa ligne par un Troyen (5e), un bon débordement suivi d’un centre pour personne (27e), et c’est à peu près tout dans un premier acte où il a principalement couru dans le vide. Un peu plus en vue au retour des vestiaires, il profite de la glissade d’un défenseur mais ne cadre pas alors qu’il est dans la surface (50e). Remplacé par Marvin De Lima (72e), auteur d’un bon centre tendu et globalement d’une entrée tranchante. Il obtient le pénalty imaginaire de l’égalisation. De retour en pointe, il a longtemps été très peu touché. Il joue mal le coup sur un ballon en profondeur où il tergiverse face au gardien (21e). Une tête à côté (43e), une autre bien plus appuyée qui a obligé Alemdar à une claquette sous sa barre (45e). Difficile d’attendre de lui qu’il apporte quelque chose en pivot. Remplacé par Zan Vipotnik (72e). Contre Angers lundi (1-0), il avait sauvé une prestation insipide par un but très précieux. Cette fois, non. Le Géorgien, très discret alors qu’il est censé être l’un des hommes libres que les défenseurs et milieux doivent chercher entre les lignes, a en plus connu un gros déchet dans la plupart de ses prises de balle. Quand il a été en position de frappe, il était penché vers l’arrière et a envoyé le ballon dans les nuages (53e). Remplacé par Julien Vetro (72e). Les notes de Sud Ouest Il a dû attendre la demi-heure de jeu pour réaliser sa première intervention, en allant vite au sol pour détourner un centre au cordeau (32e). Une parade du pied sur une frappe de Saïd (57e), une autre devant Rippart même si cela aurait dû finir par un but sans une intervention irrationnelle d’Elisor (73e). Il finit par faucher De Préville dans sa surface après l’énorme erreur de Biumla (90e+5). Toujours à droite, un côté où il n’est clairement pas à l’aise pour centrer et qui l’oblige à revenir sur son pied gauche sans grand succès, il a au moins eu le mérite d’amener le surnombre dans son couloir. De bonnes interventions pour enlever des ballons chauds (21e, 59e), mais aussi quelques tourments causés par Saïd (32e, 57e). Il a terminé à gauche. Pour son premier match depuis le 19 décembre, il a confirmé ce qu’Albert Riera disait de lui cette semaine : il a des jambes. Il a plusieurs fois coupé des attaques troyennes grâce à sa vitesse, même s’il est devancé par Elisor (3e). Un tacle peu maîtrisé mais qui a le mérite de sortir un centre brûlant (21e). Il finit à droite et rate une reprise pas évidente (84e). En retard comme beaucoup sur la première occasion troyenne (3e). Ensuite, il a fait parler sa puissance et a été dominant dans l’impact. Une grosse faute sur Elisor qui a échappé aux arbitres alors qu’il aurait dû récolter un carton jaune (40e). Plutôt sobre dans la relance jusqu’à cette passe plein axe complètement ratée qui offre l’action du but troyen (65e). Une autre passe contrée sans conséquences (81e) et surtout une perte devant sa surface qui débouche sur le pénalty de la victoire (90e+5). Après plusieurs pertes de balle dangereuses contre Angers, il doit gagner en fiabilité sur ce point. Il avait su se ressaisir après une fin 2023 très compliquée. À Troyes, il a de nouveau été en grande difficulté. Bruus lui a fait des misères dans son dos (3e, 14e, 32e) et les occasions auboises sont souvent venues de son côté. Pour ne rien arranger, il a été averti pour avoir trop tardé à jouer ses touches (41e), pas aidé par des coéquipiers qui ne proposaient rien. Offensivement, un centre magnifique pour Elis (45e) et une remise acrobatique dans la surface (54e). Trop peu. Après une touche mal jouée, il est remplacé par Yoann Barbet (63e), qui avait commencé sur le banc pour limiter les risques avec son ischio douloureux, et qui suit le joueur plutôt que le ballon sur l’ouverture du score (65e). Il se rattrape en égalisant sur un pénalty offert par l’arbitre (90e). Il a livré un duel très musclé avec les milieux de terrain adverse, a pris des coups, en a rendus, et a bénéficié de la clémence de l’arbitre malgré une semelle sur la jambe d’un Troyen (30e) et une multitude d’accrochages. Il confirme ses progrès dans l’utilisation du ballon. Il joue presque comme un meneur reculé et distribue beaucoup. Un extérieur magnifique pour ouvrir le jeu vers la droite (26e), un ballon brossé pour aller chercher Ekomié dans la surface (54e). Il a confirmé son retour à un bon niveau. Beaucoup de ballons touchés, une activité de tous les instants. La première frappe cadrée est pour lui (5e). Une superbe ouverture pour lancer Elis (21e). Il n’a pas baissé de pied jusqu’à la fin. Pas mal de ballons touchés, quelques relais intéressants, mais parfois trop de touches de balle, et assez peu de différences faites en première période, où il a été très précieux dans le replacement et le pressing. Une frappe boxée par le gardien adverse (43e). Il manque de spontanéité. Il s’arrête complètement de courir sur le but où il est pris par la feinte (65e). Une tête sauvée sur sa ligne par un Troyen (5e), un bon débordement suivi d’un centre pour personne (27e), et c’est à peu près tout dans un premier acte où il a principalement couru dans le vide. Un peu plus en vue au retour des vestiaires, il profite de la glissade d’un défenseur mais ne cadre pas alors qu’il est dans la surface (50e). Remplacé par Marvin De Lima (72e), auteur d’un bon centre tendu et globalement d’une entrée tranchante. Il obtient le pénalty imaginaire de l’égalisation. De retour en pointe, il a longtemps été très peu touché. Il joue mal le coup sur un ballon en profondeur où il tergiverse face au gardien (21e). Une tête à côté (43e), une autre bien plus appuyée qui a obligé Alemdar à une claquette sous sa barre (45e). Difficile d’attendre de lui qu’il apporte quelque chose en pivot. Remplacé par Zan Vipotnik (72e). Contre Angers lundi (1-0), il avait sauvé une prestation insipide par un but très précieux. Cette fois, non. Le Géorgien, très discret alors qu’il est censé être l’un des hommes libres que les défenseurs et milieux doivent chercher entre les lignes, a en plus connu un gros déchet dans la plupart de ses prises de balle. Quand il a été en position de frappe, il était penché vers l’arrière et a envoyé le ballon dans les nuages (53e). Remplacé par Julien Vetro (72e). La réaction de Riera Albert Riera (entraîneur de Bordeaux) : « Logique ou pas, mérité ou pas… Si on parle de manière générale, et j’espère que vous ne parlerez pas de manque de respect, on est une meilleure équipe que Troyes sur les deux matchs, et on perd six points. Dans le foot, tu ne gagnes pas toujours quand tu es le meilleur. Je suis très déçu car dans le jeu, je crois - peut-être que David (Guion) ne sera pas d’accord avec moi - qu’on est meilleurs qu’eux. Mais ça ne suffit pas. » « Je vais faire court : je suis le responsable de la défaite. Je sais pourquoi, mais je ne peux pas le dire pour protéger les joueurs. C’est moi qui décide qui joue ou pas. Les choses ne se passent pas par coïncidences. Si on veut se rapprocher de notre rêve et de nos objectifs, il faut arrêter de faire des cadeaux. Les adversaires, eux, n’en font pas. On joue mieux, on est mieux positionnés, on a plus d’expected goals (Troyes en a 2,62 contre 2,17 à Bordeaux, NDLR), plus de passes. Aujourd’hui (samedi), même si on n’est pas très bien, pas magnifiques, on contrôle. Si tu ne peux pas gagner, au moins ne perds pas. On donne trois points à une équipe qui n’est pas meilleure que nous. » « Les buts, c’est vraiment des cadeaux. ‘Je te donne le ballon, viens le chercher.’ Evidemment que l’adversaire en profite. Il attendait nos erreurs et on les a commises. Il faut qu’on apprenne de nos erreurs. Quand il y a 1-1, dans les cinq dernières minutes, on doit jouer long, finir le match dans la surface de l’adversaire. Je n’ai jamais préparé un entraînement où les défenseurs centraux dribblent. Jamais. Faire une erreur à ce niveau… Mais ce n’est pas une question d’âge. Et je ne veux pas pointer Manu (Biumla). Il vient de faire de très bons matchs, et on va le casser ? Non. On va le protéger. Il doit apprendre, progresser, mais ne dites pas qu’on a perdu à cause de cette situation. On aurait dû gagner beaucoup plus tôt. On a eu beaucoup de situations pour marquer. » C'est marrant cette manière, semaine après semaine de claironner que nous sommes meilleurs que tous le monde. Alors il veut peut-être se persuader lui même mais lorsqu'on regarde le classement ( parce que c'est lui qui sera le juge de paix ), on se rends compte qu'après 23 journées, il y en réalité 12 équipes meilleures que nous. C'est bien beau de tirer ou cadrer plus que l'adversaire, mais en réalité, ce qui compte c'est celles qui vont au fond. Je préfère qu'on ne cadre que 3 fois et qu'on en mette 2. Parce que hier on tire 17 fois, on cadre 6 fois pour ZERO but. On n'arrive a marquer que sur un penalty inexistant. On a 16 points de retard sur l'objectif initial, il faudrait peut-être juste se rendre compte que nous sommes mauvais, que le mercato estival est un raté monumental, que la gestion depuis la fin de saison dernière est catastrophique. Mais le pire est à venir, car la prochaine saison se fera sans les moins pires, sans budget. On est pas près de ne plus entendre Riou commenter les matchs. La réaction de Riera Albert Riera (entraîneur de Bordeaux) : « Logique ou pas, mérité ou pas… Si on parle de manière générale, et j’espère que vous ne parlerez pas de manque de respect, on est une meilleure équipe que Troyes sur les deux matchs, et on perd six points. Dans le foot, tu ne gagnes pas toujours quand tu es le meilleur. Je suis très déçu car dans le jeu, je crois - peut-être que David (Guion) ne sera pas d’accord avec moi - qu’on est meilleurs qu’eux. Mais ça ne suffit pas. » « Je vais faire court : je suis le responsable de la défaite. Je sais pourquoi, mais je ne peux pas le dire pour protéger les joueurs. C’est moi qui décide qui joue ou pas. Les choses ne se passent pas par coïncidences. Si on veut se rapprocher de notre rêve et de nos objectifs, il faut arrêter de faire des cadeaux. Les adversaires, eux, n’en font pas. On joue mieux, on est mieux positionnés, on a plus d’expected goals (Troyes en a 2,62 contre 2,17 à Bordeaux, NDLR), plus de passes. Aujourd’hui (samedi), même si on n’est pas très bien, pas magnifiques, on contrôle. Si tu ne peux pas gagner, au moins ne perds pas. On donne trois points à une équipe qui n’est pas meilleure que nous. » « Les buts, c’est vraiment des cadeaux. ‘Je te donne le ballon, viens le chercher.’ Evidemment que l’adversaire en profite. Il attendait nos erreurs et on les a commises. Il faut qu’on apprenne de nos erreurs. Quand il y a 1-1, dans les cinq dernières minutes, on doit jouer long, finir le match dans la surface de l’adversaire. Je n’ai jamais préparé un entraînement où les défenseurs centraux dribblent. Jamais. Faire une erreur à ce niveau… Mais ce n’est pas une question d’âge. Et je ne veux pas pointer Manu (Biumla). Il vient de faire de très bons matchs, et on va le casser ? Non. On va le protéger. Il doit apprendre, progresser, mais ne dites pas qu’on a perdu à cause de cette situation. On aurait dû gagner beaucoup plus tôt. On a eu beaucoup de situations pour marquer. » C'est marrant cette manière, semaine après semaine de claironner que nous sommes meilleurs que tous le monde. Alors il veut peut-être se persuader lui même mais lorsqu'on regarde le classement ( parce que c'est lui qui sera le juge de paix ), on se rends compte qu'après 23 journées, il y en réalité 12 équipes meilleures que nous. C'est bien beau de tirer ou cadrer plus que l'adversaire, mais en réalité, ce qui compte c'est celles qui vont au fond. Je préfère qu'on ne cadre que 3 fois et qu'on en mette 2. Parce que hier on tire 17 fois, on cadre 6 fois pour ZERO but. On n'arrive a marquer que sur un penalty inexistant. On a 16 points de retard sur l'objectif initial, il faudrait peut-être juste se rendre compte que nous sommes mauvais, que le mercato estival est un raté monumental, que la gestion depuis la fin de saison dernière est catastrophique. Mais le pire est à venir, car la prochaine saison se fera sans les moins pires, sans budget. On est pas près de ne plus entendre Riou commenter les matchs.J23 : Troyes - Bordeaux : samedi 03/02 : 19h00
Karl-Kohan Johnsson : 5/10
Vital Nsimba : 5/10
Malcom Bokele : 5/10
Emmanuel Biumla : 3/10
Jacques Ekomié : 3/10
Danylo Ignatenko : 6/10
Pedro Diaz : 6/10
Gaétan Weissbeck : 4/10
Jérémy Livolant : 3/10
Alberth Elis : 4/10
Zuriko Davitashvili : 2/10
Karl-Kohan Johnsson : 5/10
Vital Nsimba : 5/10
Malcom Bokele : 5/10
Emmanuel Biumla : 3/10
Jacques Ekomié : 3/10
Danylo Ignatenko : 6/10
Pedro Diaz : 6/10
Gaétan Weissbeck : 4/10
Jérémy Livolant : 3/10
Alberth Elis : 4/10
Zuriko Davitashvili : 2/10
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#21 · 4 février 2024, 10 h 38 min#22 · 4 février 2024, 10 h 54 min