Le management à l 'américaine peut-il s'adapter aux Girondins de Bordeaux? Selon Dynamique-Mag, en 2014, on peut définir ce type de management comme le fait de laisser à son employé le libre arbitre de ses choix. Une forme d'indépendance et d'autonomie. Premier lieu commun, le « classement par niveau de performances », le « Forced ranking ». Ce mouvement donne lieu à des vagues de licenciements, subies par les salariés faisant partie de ceux considérés comme « moins bons ». Cette méthode a essentiellement pour dessein de lutter contre la léthargie. Second lieu commun, les résultats, le reporting, les indicateurs clés de performances. Selon petite-entreprise.net, on oublie la philosophie, l’argumentation et la passion ; on laisse parler les chiffres puis on décide. Les américains ont tendance à trop foncer tête baissée et à tirer les conséquences après coup, parfois en le payant au prix fort. Troisième lieu commun. Le management à l'américaine amène aussi, bien souvent, à effacer les relations humaines entre les collaborateurs qui sont concentrées sur le business. Les salariés pensent boulot, mangent boulot et vivent boulot. Ils sont peu solidaires et pensent avant tout à leur carrière, leur réussite personnelle. Ceci est une forme de patchwork de ces deux articles: https://www.petite-entreprise.net/P-3992-81-G1-le-management-a-l-americaine-bonne-idee-ou-mythe.html, http://www.dynamique-mag.com/article/le-management-a-l-americaine-peut-il-s-adapter-a-nos-entreprises.4982 Le management à l 'américaine peut-il s'adapter aux Girondins de Bordeaux? Selon Dynamique-Mag, en 2014, on peut définir ce type de management comme le fait de laisser à son employé le libre arbitre de ses choix. Une forme d'indépendance et d'autonomie. Premier lieu commun, le « classement par niveau de performances », le « Forced ranking ». Ce mouvement donne lieu à des vagues de licenciements, subies par les salariés faisant partie de ceux considérés comme « moins bons ». Cette méthode a essentiellement pour dessein de lutter contre la léthargie. Second lieu commun, les résultats, le reporting, les indicateurs clés de performances. Selon petite-entreprise.net, on oublie la philosophie, l’argumentation et la passion ; on laisse parler les chiffres puis on décide. Les américains ont tendance à trop foncer tête baissée et à tirer les conséquences après coup, parfois en le payant au prix fort. Troisième lieu commun. Le management à l'américaine amène aussi, bien souvent, à effacer les relations humaines entre les collaborateurs qui sont concentrées sur le business. Les salariés pensent boulot, mangent boulot et vivent boulot. Ils sont peu solidaires et pensent avant tout à leur carrière, leur réussite personnelle. Ceci est une forme de patchwork de ces deux articles: https://www.petite-entreprise.net/P-3992-81-G1-le-management-a-l-americaine-bonne-idee-ou-mythe.html, http://www.dynamique-mag.com/article/le-management-a-l-americaine-peut-il-s-adapter-a-nos-entreprises.4982 Selon France Bleu Gironde. Les Girondins de Bordeaux constatent un effet Laurent Koscielny sur les vente de billets Jeudi 15 août 2019 à 19:05 - Par Stéphanie Brossard, Julien Penot, France Bleu Gironde 30 à 35 000 personnes sont attendues dans les gradins du Matmut Atlantique à Bordeaux pour le premier match de la saison de L1 à la maison face à Montpellier samedi. Le tarif unique de 9 euros a bien aidé à remplir le stade. Mais il y a aussi un effet Laurent Koscielny, explique les Girondins. C'est la recrue phare du mercato estival des Girondins de Bordeaux. Il est la curiosité de ce début de saison aux Girondins de Bordeaux : le défenseur international de presque 34 ans Laurent Koscielny en provenance d'Arsenal. Depuis son arrivée, la billetterie s'est emballée à entendre Antony Thiodet, le directeur commercial des Girondins de Bordeaux. "Le jour de la signature de Koscielny, sur internet par exemple, par rapport à ce qui se passe habituellement, on a constaté +30% sur la vente des billets, puis encore +25% le jour d'après et encore +15% le troisième jour. Donc il y a eu un impact, mais finalement assez relatif. Il y a eu un impact pour ceux qui savent qui est Koscielny. Les footeux. Cette signature a eu moins d'effet sur les autres publics que l'on vise et qui nous intéresse. C'est là-dessus que l'on doit travailler". 10 600 abonnés à ce jour. Mieux que la saison dernière Lorsque je regarde cet optimisme commercial en comparaison avec le niveau de l'équipe première actuellement, je suis un peu abasourdi en interprétant le sens des priorités de nos dirigeants. Selon France Bleu Gironde. Les Girondins de Bordeaux constatent un effet Laurent Koscielny sur les vente de billets Jeudi 15 août 2019 à 19:05 - Par Stéphanie Brossard, Julien Penot, France Bleu Gironde 30 à 35 000 personnes sont attendues dans les gradins du Matmut Atlantique à Bordeaux pour le premier match de la saison de L1 à la maison face à Montpellier samedi. Le tarif unique de 9 euros a bien aidé à remplir le stade. Mais il y a aussi un effet Laurent Koscielny, explique les Girondins. C'est la recrue phare du mercato estival des Girondins de Bordeaux. Il est la curiosité de ce début de saison aux Girondins de Bordeaux : le défenseur international de presque 34 ans Laurent Koscielny en provenance d'Arsenal. Depuis son arrivée, la billetterie s'est emballée à entendre Antony Thiodet, le directeur commercial des Girondins de Bordeaux. "Le jour de la signature de Koscielny, sur internet par exemple, par rapport à ce qui se passe habituellement, on a constaté +30% sur la vente des billets, puis encore +25% le jour d'après et encore +15% le troisième jour. Donc il y a eu un impact, mais finalement assez relatif. Il y a eu un impact pour ceux qui savent qui est Koscielny. Les footeux. Cette signature a eu moins d'effet sur les autres publics que l'on vise et qui nous intéresse. C'est là-dessus que l'on doit travailler". http://<iframe src="https://www.francebleu.fr/player/export/reecouter/extrait?content=dfb85103-7ccf-415d-9d94-2b6cc3fd2286"></iframe> 10 600 abonnés à ce jour. Mieux que la saison dernière Lorsque je regarde cet optimisme commercial en comparaison avec le niveau de l'équipe première actuellement, je suis un peu abasourdi en interprétant le sens des priorités de nos dirigeants. Le management à l 'américaine peut-il s'adapter aux Girondins de Bordeaux? Selon Dynamique-Mag, en 2014, on peut définir ce type de management comme le fait de laisser à son employé le libre arbitre de ses choix. Une forme d'indépendance et d'autonomie. Premier lieu commun, le « classement par niveau de performances », le « Forced ranking ». Ce mouvement donne lieu à des vagues de licenciements, subies par les salariés faisant partie de ceux considérés comme « moins bons ». Cette méthode a essentiellement pour dessein de lutter contre la léthargie. Second lieu commun, les résultats, le reporting, les indicateurs clés de performances. Selon petite-entreprise.net, on oublie la philosophie, l’argumentation et la passion ; on laisse parler les chiffres puis on décide. Les américains ont tendance à trop foncer tête baissée et à tirer les conséquences après coup, parfois en le payant au prix fort. Troisième lieu commun. Le management à l'américaine amène aussi, bien souvent, à effacer les relations humaines entre les collaborateurs qui sont concentrées sur le business. Les salariés pensent boulot, mangent boulot et vivent boulot. Ils sont peu solidaires et pensent avant tout à leur carrière, leur réussite personnelle. Ceci est une forme de patchwork de ces deux articles: https://www.petite-entreprise.net/P-3992-81-G1-le-management-a-l-americaine-bonne-idee-ou-mythe.html, http://www.dynamique-mag.com/article/le-management-a-l-americaine-peut-il-s-adapter-a-nos-entreprises.4982 On est bien d'accord ! Le management à l 'américaine peut-il s'adapter aux Girondins de Bordeaux? Selon Dynamique-Mag, en 2014, on peut définir ce type de management comme le fait de laisser à son employé le libre arbitre de ses choix. Une forme d'indépendance et d'autonomie. Premier lieu commun, le « classement par niveau de performances », le « Forced ranking ». Ce mouvement donne lieu à des vagues de licenciements, subies par les salariés faisant partie de ceux considérés comme « moins bons ». Cette méthode a essentiellement pour dessein de lutter contre la léthargie. Second lieu commun, les résultats, le reporting, les indicateurs clés de performances. Selon petite-entreprise.net, on oublie la philosophie, l’argumentation et la passion ; on laisse parler les chiffres puis on décide. Les américains ont tendance à trop foncer tête baissée et à tirer les conséquences après coup, parfois en le payant au prix fort. Troisième lieu commun. Le management à l'américaine amène aussi, bien souvent, à effacer les relations humaines entre les collaborateurs qui sont concentrées sur le business. Les salariés pensent boulot, mangent boulot et vivent boulot. Ils sont peu solidaires et pensent avant tout à leur carrière, leur réussite personnelle. Ceci est une forme de patchwork de ces deux articles: https://www.petite-entreprise.net/P-3992-81-G1-le-management-a-l-americaine-bonne-idee-ou-mythe.html, http://www.dynamique-mag.com/article/le-management-a-l-americaine-peut-il-s-adapter-a-nos-entreprises.4982 On est bien d'accord ! Le podcast d'Arl avec l'interview de Marc Vanhove. Alors ok, il est supporter, comme nous.....il râle comme nous.....mais s'il pense qu'enlaidir notre maillot (en contre-partie d'une obole ) avec sa PME locale l'autorise à des sorties comme celle-ci..... J'suis Da Grosa je le convoque et lui explique que son rôle c'est de filer en chèque en contre-partie d'une publicité nationale. Si ce rôle ne lui suffit pas, il suffit de modifier le montant du chèque. Et pour la peine, le contrat ne sera pas reconduit aux termes actuels. Un mec qui conseille de prendre Ribery, Valbuena et Puel.....effectivement il est mieux dans ses restaurants.... Sur le fond, je partage son point de vue sur sa généralité mais par contre tu es sponsor maillot principal (sic !) tu ne fais pas ce genre de sortie Le podcast d'Arl avec l'interview de Marc Vanhove. Alors ok, il est supporter, comme nous.....il râle comme nous.....mais s'il pense qu'enlaidir notre maillot (en contre-partie d'une obole ) avec sa PME locale l'autorise à des sorties comme celle-ci..... J'suis Da Grosa je le convoque et lui explique que son rôle c'est de filer en chèque en contre-partie d'une publicité nationale. Si ce rôle ne lui suffit pas, il suffit de modifier le montant du chèque. Et pour la peine, le contrat ne sera pas reconduit aux termes actuels. Un mec qui conseille de prendre Ribery, Valbuena et Puel.....effectivement il est mieux dans ses restaurants.... Sur le fond, je partage son point de vue sur sa généralité mais par contre tu es sponsor maillot principal (sic !) tu ne fais pas ce genre de sortie Je ne suis pas vraiment en accord avec ses propos, je trouve même qu'il raconte des conneries ( comme toi avec Ribery par exemple). Je veux juste souligner qu'en tant que sponsor maillot, habituellement si tu dois faire des reproches sur le niveau de l'équipe/club, tu le signifies directement aux intéressés. Là, c'est tellement le bordel dans les résultats sportifs, mais aussi dans la gestion du marché des transferts avec des promesses, des discours de la part de la direction qui ne semblent en rien en adéquation avec ce qui est en train de se passer que le gars se lâche sans filtre sur une radio locale. Je veux juste montrer que nous sommes aux bords d'une crise jamais connu encore au club si Da Grosa, le Roi de la rue et la Forteresse s'obstinent à ne pas placer le résultat sportif au centre des intérêts commun. Je ne suis pas vraiment en accord avec ses propos, je trouve même qu'il raconte des conneries ( comme toi avec Ribery par exemple). Je veux juste souligner qu'en tant que sponsor maillot, habituellement si tu dois faire des reproches sur le niveau de l'équipe/club, tu le signifies directement aux intéressés. Là, c'est tellement le bordel dans les résultats sportifs, mais aussi dans la gestion du marché des transferts avec des promesses, des discours de la part de la direction qui ne semblent en rien en adéquation avec ce qui est en train de se passer que le gars se lâche sans filtre sur une radio locale. Je veux juste montrer que nous sommes aux bords d'une crise jamais connu encore au club si Da Grosa, le Roi de la rue et la Forteresse s'obstinent à ne pas placer le résultat sportif au centre des intérêts commun. La réponse de la com du club. https://twitter.com/girondins/status/1163042571045789696 La réponse de la com du club. — FC Girondins de Bordeaux (@girondins) August 18, 2019 Il n'y a que la vérité qui vèxe, dit-on ! Plus prosaïquement, on peut sans doute tirer les conclusions suivantes de cette transaction : Bref, ça pue et ça risque de mal finir cette histoire avec les bureaux du château remplis de nouveaux et un staff pléthorique qui encadre un coach qui n'y arrive pas. Il n'y a que la vérité qui vèxe, dit-on ! Plus prosaïquement, on peut sans doute tirer les conclusions suivantes de cette transaction : Bref, ça pue et ça risque de mal finir cette histoire avec les bureaux du château remplis de nouveaux et un staff pléthorique qui encadre un coach qui n'y arrive pas.Une gestion à l'Américaine.
Malgré les résultats très décevants la saison passée (14e de Ligue 1) et lors des matches amicaux de préparation cet été, les chiffres des abonnements sont plutôt encourageants pour le moment selon le club : 10 600 comptabilisés à ce jour. C'est plus que l'an dernier à la même date (8900). Objectif affiché par la direction des Girondins de Bordeaux : augmenter la fréquentation du stade de 20% cette saison.
Malgré les résultats très décevants la saison passée (14e de Ligue 1) et lors des matches amicaux de préparation cet été, les chiffres des abonnements sont plutôt encourageants pour le moment selon le club : 10 600 comptabilisés à ce jour. C'est plus que l'an dernier à la même date (8900). Objectif affiché par la direction des Girondins de Bordeaux : augmenter la fréquentation du stade de 20% cette saison.
Reste à voir la transposition dans un club de foot, avec la particularité de la revente des joueurs, ressource inexistante dans des tas de secteurs économiques.
Reste à voir la transposition dans un club de foot, avec la particularité de la revente des joueurs, ressource inexistante dans des tas de secteurs économiques.
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#1 · 15 août 2019, 20 h 03 min#2 · 15 août 2019, 20 h 13 min#3 · 16 août 2019, 9 h 44 min#4 · 17 août 2019, 11 h 39 min#5 · 17 août 2019, 14 h 27 min#6 · 17 août 2019, 16 h 40 min#7 · 18 août 2019, 13 h 19 min#8 · 18 août 2019, 18 h 21 min#9 · 18 août 2019, 22 h 45 min#10 · 20 août 2019, 17 h 23 min