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Les news du Haillan : Entraînements, revues de presse....

Content....et c'est triste de dire que oui, je suis content d'être en L2.............

Prochaine étape, nouveau passage devant la DNCG mardi, à la demande de la FFF....

En attendant, nos 3 recrues ne peuvent être dans le groupe pour VA...

 

Content également de la grosse réduction de la dette. Par contre il faudrait maintenant, un peu de professionnalisme, à tous les niveaux...

Futur classement final de Ligue 2 selon les bookmakers

AS Saint-Étienne = 5 contre un
FC Metz = 5,50
FC Girondins de Bordeaux = 6
Paris FC = 8
SM Caen = 8
Dijon FCO = 10
EA Guingamp = 10
Le Havre AC = 12
FC Sochaux = 15
Nîmes Olympique = 30
Amiens SC = 40
Chamois Niortais = 70
Valenciennes FC = 70
SC Bastia = 70
Grenoble Foot = 130
Rodez = 130
Quevilly-Rouen = 250
Stade Lavallois = 500
FC Annecy = 500

C'est ça, respect du budget de 40 millions

En clair, si un jouer est homologué, ca veut dire qu'un autre est parti

Communiqué du Club

Mardi, 2 Août 2022 21:45
Logo Girondins Marine

 

Après la décision de la DNCG, le FC Girondins de Bordeaux construit son effectif pour la Ligue 2 BKT

Le FC Girondins de Bordeaux a pris connaissance de la décision de la DNCG de ce jour.

Le club, qui dispose d’un budget équilibré, le premier budget de Ligue 2 BKT, peut désormais se consacrer à la préparation de la saison à venir et à la constitution d’un effectif solide et déterminé.

Avec une santé financière renforcée et assainie, grâce à un budget intégralement financé et un désendettement à hauteur de 75%, le club construit son avenir avec ses jeunes, qui, aux côtés de joueurs d’expérience, ont déjà commencé à démontrer sur le terrain leur potentiel et motivation.

Le club n’a désormais qu’une priorité : le championnat de Ligue 2 BKT.

Allez Bordeaux !

Traduction:

Avec la contrainte de la Dncg vis à vis de la masse salariale, nous ne pouvons plus trop faire d'excès. 

Nous nous attendions à ce type de contrôle.

Le club reste encore déficitaire à cause de plusieurs indemnités de licenciements, mais grâce aux primes de la Lfp pour les clubs rétrogradés nous ne vivons plus trop au dessus de nos moyens pour cette saison. Il faut impérativement que nos plus gros salaires partent au plus vite afin de faire venir de nouveaux gros salaires pour le niveau de la L2.

N'ayant plus une thune , le moindre euro qui rentre va être partagé entre les fonds étasuniens, la signature de joueurs mais sans jamais oublier nos poches. Nous avons réussi à faire plier les fonds d'investissement mais jusqu'à une certaine limite pas encore dévoilée pour le moment. N'ayant pas vraiment le choix, nous faisons jouer en grande partie les joueurs de notre réserve en priant qu'ils continuent à se battre sur le terrain et si possible les encadrer par les seuls qui souhaitent venir mais pas à n'importe quel prix.

On ne montera pas en L2 car trop de retard de pris afin d'améliorer significativement  un effectif pas au niveau.

Venez au stade on a besoin de vos euros.

 

.

mademoisellelilly

Girondins de Bordeaux. Le casse-tête de la masse salariale pour avancer sur le mercato

Baisser les salaires

La charte de l’UNFP, le syndicat des joueurs, permet une baisse automatique de 20% des salaires des joueurs suite à la relégation. Mais ce n’est pas aussi simple. En 2011, un jeune Guingampais avait subi la baisse unilatérale (décidée par le seul employeur) de son salaire et porté l’affaire devant les tribunaux. La Cour de cassation (2016) après la Cour d’appel (2018) lui avait donné raison et il avait obtenu réparation en percevant 36 000 euros au titre de rappel de salaire.

Par la suite, l’article est toujours présent dans le règlement de la LFP et dans la charte, mais il est considéré comme illégal et inapplicable. La plupart des clubs sont protégés par l’insertion d’une « clause Ligue 2 » dans les contrats de travail. C’est loin d’être le cas aux Girondins – qui ont longtemps cru être à l’abri du danger – sauf sur les contrats les plus récents, ceux des jeunes par exemple. Puisque la coercition est impossible, les Girondins source autrement : selon nos informations, des joueurs ont reçu un courrier leur plaignant pour consentir à une réduction de salaire de 20 %.

Des négociations peuvent survenir pour aller plus loin avec tel ou tel joueur. Cela pourrait notamment concerner les pros envoyés s’entraîner en réserve, pour quels Bordeaux ne peuvent éventuellement une indemnité de transfert : Rouyard, Mexer (payé plus 100 000 euros par mois pour encore une saison), Medioub (prolongé de trois ans en février dernier à 40 000 euros par mois plus 400 000 euros de primes à recevoir en septembre), Baysse (sous contrat jusqu’en 2024) ou Kwateng (70 000 euros par mois, un an de contrat).

Autant de conditions, souvent héritées des ères GACP et King Street, qui n’incitent peut-être que les joueurs à quitter Bordeaux ou à faire un effort. « Des négociations sont en cours. Certains joueurs ont accepté une baisse de 50 % ou un décalage sur la saison prochaine », d’après une source proche du dossier, sans donner plus de précisions. Ambassadeur à l’international après janvier, Laurent Koscielny (250 000 euros par mois) n’est pas aisé même avec les masses salariales.

je vendrai des joueurs

Ces baisses de salaire ne donneront pas suffisamment de marge de manœuvre à Bordeaux, qui doivent donc aussi vendre. Avec le plan présenté au Tribunal de Commerce et à la DNCG mardi, il s’est engagé à granger 25 millions d’indemnités de transfert lors du marché d’été, sans compter l’intéressement sur Aurélien Tchouaméni (7,8 millions d’euros). Après le transfert de Sekou Mara à Southampton (11 millions plus 2 bonus), la différence reste entre 12 et 14 millions à trouver.

Mara ne représente pas un salaire important. Idem concernant Junior Onana, car le club compte les approcher avec des millions d’euros à vendre, et Alberth Elis, qui ne fait pas la même partie du dix plus gros salaires la saison passée. Les Girondins – qui n’ont pas officialisé la loi de son option d’achat auprès de Boavista – n’excluent pas de conserver le Hondurien mais l’agent du joueur à plusieurs reprises ont affirmé qu’un départ cet été était inévitable.

Trois salaires bruts sont en revanche sur le départ, mais Hwang Ui-Jo (150 000 euros brut mensuel, un an de contrat), Rémi Oudin (120 000 brut, deux ans de contrat) et M’Baye Niang (90 000 brut, un an de contrat) sont dans des situations très différentes. Le Sud-Coréen intéresse plus les clubs, dont Nantes, et son départ devrait rapporter entre cinq et six millions d’euros. Le prix de l’ancien Rémois a été fixé à quatre millions d’euros pour Admar Lopes, qui espère également obtenir une petite indemnité pour l’ancien Milan.

Bien venu me permettre d’augmenter la trésorerie et donc d’obtenir une marge de manœuvre supplémentaire de la part de la DNCG. Le problème, eh bien, c’est que les Girondins ne sont absolument pas en mesure de se forcer pour obtenir des bons prix.

https://mademoisellelilly.com/index.php/2022/08/03/girondins-de-bordeaux-le-casse-tete-de-la-masse-salariale-pour-avancer-sur-le-mercato/

 

Nous nous sommes engagés à baisser la masse salariale devant la DNCG. A priori cette dernière est encore trop élevé d'au moins 4 millions. Et tant que nous ne serons pas dans les clous, aucune arrivée ne sera validée.

Ui-jo Hwang 150 000 €   soit 1.8 M€ annuels

Edson Mexer 130 000 € soit 1.5 M€ annuels

Rémi Oudin 130 000 € soit 1.5 M€ annuels

M'Baye Niang 90 000 € soit 1.08 M€ annuels

Enock Kwateng 70 000 € soit 0.8 M€ annuels

Fransergio 65 000 € soit 0.78 M€ annuels

Quand on voit les chiffres c'est affolant tout de même. Si départ de Hwang, Oudin et Niang, nous arrivons à peine à l'équilibre de la masse salariale. Encore pire si les salaires ont été déjà renégociés. Il va falloir s'accrocher avant de voir arriver N'simba, Barbet et le gardien danois. La rumeur dit que les deux premiers bénéficieraient de salaires de niveau L1. On peut imaginer au delà des 60000 mensuel chacun. Il suffit de voir Kwateng à 70000. On a toujours pas le cul sorti des ronces.

Par contre merci à la Dncg de ne pas laisser d'espace de liberté à Lopez. Le mec est irrécupérable. Il semble profiter de la dette. Dans quelle mesure, je ne sais pas, mais l'équilibre financier du club ne semble pas avoir un réel intérêt dans ses projets.

 

Sinon son service de com:

Ligue 2 : les coulisses du second sauvetage des Girondins de Bordeaux

Jeudi 4 août 2022 à 8:27 - 

Par France Bleu Gironde  Bordeaux

Après deux mois de rebondissements sur le plan extra-sportif où le club a frôlé la disparition, les Girondins de Bordeaux vont pouvoir enfin se concentrer sur le terrain avec comme objectif la remontée en Ligue 1. France Bleu Gironde revient sur cette période très mouvementée en quatre épisodes.

Gérard Lopez entouré par son avocat Laurent Cotret (à gauche) et Thomas Jacquemier (à droite) © Maxppp - PHOTOPQR/SUD OUEST/MAXPPP

 

Gérard Lopez entouré par son avocat Laurent Cotret (à gauche) et Thomas Jacquemier (à droite)

Gérard Lopez entouré par son avocat Laurent Cotret (à gauche) et Thomas Jacquemier (à droite) © Maxppp - PHOTOPQR/SUD OUEST/MAXPPP

Le passage devant la DNCG ce mardi après-midi a refermé pour les Girondins de Bordeaux une séquence de deux mois très mouvementée sur le plan extra sportif ! Une séquence où le club a tout simplement failli disparaître après la décision du gendarme financier du football français de le rétrograder en National 1, à deux reprises, en première instance puis en appel. Repêchés finalement in extremis en Ligue 2 grâce à l'aval du Tribunal de Commerce de Bordeaux, du CNOSF et de la FFF, les Girondins de Bordeaux ont frôlé la correctionnelle. Et ils sont passés par tous les états.  

A court terme, les supporters bordelais peuvent souffler et surtout se concentrer sur le terrain : "Place au sport", tonne, depuis plusieurs jours, Gérard Lopez, le propriétaire et président des Marine et Blanc. Il était temps. Mais avant de passer complètement au chapitre sportif avec notamment le mercato, France Bleu Gironde vous propose de revenir sur les coulisses de ce second sauvetage des Girondins, en l'espace d'un an. 

Le jour où la direction a compris que ce serait très compliqué

Certains avaient compris, dès le départ, que ce serait un parcours du combattant, après la relégation sportive du club en Ligue 2. Et le 14 juin dernier lors du premier passage devant la DNCG, tout le monde en a pris conscience. Au-delà de l'audience très compliquée vécue par la délégation bordelaise, l'hostilité des contradicteurs du jour et surtout la présence non-autorisée d'un membre de l'instance, fin connaisseur du club, n'augurait rien de bon pour la suite. Cette personne n'hésitant pas à "détruire" le dossier bordelais tout en laissant fuiter de fausses informations à la presse sur les événements du jour. Son comportement lui vaudra d'ailleurs un petit rappel à l'ordre du patron de la DNCG. La direction des Girondins, elle, a la confirmation que certains membres du club, jouent contre elle depuis déjà plusieurs mois. 

"D'une, nous, on a été naïf et on avait pas grand-chose dans la manche; et de deux, on a vite senti que le dossier ne serait pas que financier et qu'on nous laisserait absolument rien passer", explique un proche du dossier.

En coulisses, certains espèrent, en effet, voir le club déposer le bilan pour le reprendre en National 3. Des dossiers sont presque déjà ficelés. D'ailleurs, pendant les deux mois, plusieurs fuites interpelleront la direction du club au point qu'un mail sera envoyé par Gérard Lopez aux membres du conseil d'administration pour leur rappeler qu'ils sont soumis à une clause de confidentialité. Cette ambiance des plus malsaines au sein même des Girondins ne restera pas sans lendemain. 

Gérard Lopez, le propriétaire et président des Girondins de Bordeaux

nt la mise en place par exemple d'un conseil stratégique. L'option d'un directoire, avec à sa tête l'homme d'affaires hispano-luxembourgeois et un ou deux proches, accompagné d'un conseil de surveillance, est aussi sur la table. En revanche, l'hypothèse de la nomination d'un président délégué a pris du plomb dans l'aile : "Le patron, c'est celui qui met l'argent, pourquoi ça changerait ?", répète l'entourage du président des Girondins de Bordeaux.

Le jour où Fortress a tenté d'écarter Gérard Lopez

C'était lors d'un week-end de juin. La tension est alors très forte entre Gérard Lopez et ses créanciers, les fonds d'investissement américains, Fortress et King Street. Ces derniers décident tout simplement de "trader" la dette des Girondins en "distress". C'est-à-dire de la mettre sur la place publique, et en gros, de la céder au premier qui vient avec un minimum d'argent sur la table. Les Américains proposent juste à Gérard Lopez de récupérer sa mise de départ, soit 10 millions d'euros, et un pourcentage de la valeur du club s'il est revendu. 

Selon France Bleu Gironde, deux hommes d'affaires américains travaillant avec des fonds d'investissement se montrent intéressés. L'un d'eux est copropriétaire d'une franchise NBA et d'un bon club de football européen. Ils prennent contact avec Gérard Lopez qui ne les accueille bien sûr pas les bras ouverts. Finalement, la tentative de Fortress échoue rapidement : "Cela ne pouvait pas le faire, le timing était impossible. Cette tentative était trop tardive et surtout désorganisée". GL remporte ce premier moment chaud, alors que les négociations se poursuivent pour réduire la dette et que la commission d'appel de la DNCG approche. 

Le jour où Gérard Lopez a fait tapis 

"All-in" comme disent les joueurs de poker. C'est ce qu'a décidé de faire l'homme d'affaires hispano-luxembourgeois entre la décision en appel de la DNCG et le CNOSF ! Un énorme coup de bluff où il a affirmé aux deux fonds d'investissement qu'il allait tout simplement tout planter et retirer ses billes du deal s'ils ne faisaient pas un effort important sur la dette pour sauver le club. "Il fallait leur rentrer dedans", rétorque un proche de GL. Comme l'a révélé L'Equipe, Gérard Lopez menace tout bonnement ses créanciers de mettre le club en liquidation judiciaire. Et bye bye les 53 millions d'euros de dettes pour les Américains. 

Ce coup très risqué, Gérard Lopez l'assume aujourd'hui, en affirmant qu'il savait très bien que Fortress et King allaient finir par lâcher. Après trois jours de tensions, c'est ce qu'il se passera. Les fonds d'investissement accepteront de réduire la dette de 75% en abandonnant notamment purement et simplement la moitié de celle-ci. L'autre partie est restructurée. Et au final, la dette financière du club n'est aujourd'hui plus que de 8 millions d'euros grâce au récent transfert de Jules Koundé au Barça. 

Mais attention, cet effort hors norme des fonds d'investissement ne devrait pas rester sans lendemain. Ils ne comptent pas s'asseoir comme ça sur 26 millions d'euros. Selon plusieurs sources Outre-Atlantique, les conseils de Fortress et King Street mais aussi ceux du club réfléchissent à attaquer en justice la DNCG pour ingérence et afin d'obtenir des réparations sur les conséquences des décisions prises qui entraîneraient des moins-values importantes lors de ce mercato. Plusieurs clubs français pourraient se greffer au dossier. 

Le jour où Nasser al-Khelaïfi propose de prendre la parole

Dans le football français, c'est bien connu Gérard Lopez a peu d'amis, et donc pas mal d'ennemis. "Franchement, on a été très peu soutenu ces dernières semaines. On a même pris d'énormes tirs d'anciens joueurs. J'avoue que ce n'était pas facile pour les jours", regrette l'entourage du président des Girondins. Au milieu de cette hostilité ambiante, un homme a proposé de sortir du rang, et pas n'importe qui : Nasser al-Khelaïfi, le président du Paris-Saint-Germain. Le dirigeant qatari était prêt à prendre la parole publiquement dans les médias pour apporter son soutien à l'homme d'affaires hispano-luxembourgeois.

Nasser al-Khelaïfi, le président du Paris-Saint-Germain.

Nasser al-Khelaïfi, le président du Paris-Saint-Germain. © AFP - Bertrand GUAY / AFP

Un autre est resté en retrait mais il était l'un des rares "à ne pas casser du Lopez" dans les instances françaises. Il s'agit de Jean-Michel Aulas, le président de l'OL. "Il n'était pas non plus avec sa banderole "vive Gérard Lopez" mais, au moins, il n'était pas, contre nous, au contraire même !", explique un témoin des négociations des dernières semaines.  

De vrais génies les lopes(z).

Ils mettent des indésirables dans un loft sans avoir été vigilant sur leurs comportements la saison dernière (Niang, Kwateng, Medioub...). Continuent de mettre tricard des Mexer, Baysse certes pas vraiment au niveau athlétique via les blessures mais qui répondent présent quand ils sont sollicités. Désormais ils commencent à admettre que ses joueurs ne partirons pas du club et vont leur demander d'accepter une baisse de salaire afin de faire venir des gars qui vont jouer à leur place même s'ils sont mauvais ( ex Fransergio et Niang la saison dernière).